"Je chante sur mon chemin“
Puis vient la période de ses interventions sauvages et monumentales telle la digue
peinte entre Sète et Frontignan (1978-79) avec le soutien du Ministère de la Culture,
…et des Peintures Ripolin… mais celle–ci sera impitoyablement détruite en 1986 malgré
les innombrables protestations. De cette digue intitulée “Je chante sur mon chemin“,
il a été dit qu’elle a inauguré le “land art". De même, l’œuvre de René-François
Grégogna aura influencé bien des générations de la « nouvelle » peinture sétoise.